Meurtre d’un correspondant de guerre russe : les services secrets de Kiev accusés

Meurtre du correspondant de guerre russe - les services secrets de Kiev accusés

Le meurtre du correspondant de guerre russe, Tatarski ce 2 avril, a été organisé par les services secrets de Kiev. C’est ce qu’ont annoncé ce lundi, les autorités antiterroristes russes, faisant référence à la mort la veille, de Vladlen Tatarski, après une explosion dans un café. Le kremlin a qualifié ce drame d’attentat.

Ce dimanche, Maxime Fomine (40 ans), surnommé Vladlen Tatarski, a trouvé la mort lors d’une explosion survenue dans un café à Saint-Pétersbourg. Plus de 30 autres personnes ont été aussi blessées par l’explosion. Le drame a été provoqué par un engin explosif caché dans une statuette offerte au correspondant.

Le correspondant de guerre russe tué par les ukrainiens

Le Comité national antiterroriste russe a révélé ce lundi, les premiers éléments de son enquête après l’explosion survenue dimanche dans un café au centre-ville de Saint-Pétersbourg. Cet ‘’attentat’’ a été orchestré par les services secrets ukrainiens, annonce l’instance, cité par le média Sputnik.

Vladlen Tatarski

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En dehors des ukrainiens, l’instance pointe aussi du doigt la responsabilité des agents de la Fondation anti-corruption crée par l’opposant russe et actuellement en prison, Alexeï Navalny. Elle se base sur le statut de « militante » de cette organisation, du premier suspect du meurtre du correspondant de guerre russe, arrêté. Il s’agit de Daria Trepova. Le porte-parole du Président s’exprimant devant la presse, a qualifié les faits d’attentat.

Pour rappel, ce dimanche, le correspondant de guerre russe Tatarski , qui couvre la guerre en Ukraine, participait à un évènement quand la déflagration a eu lieu. Elle serait provoquée par un engin explosif caché dans une statuette offerte par la suspecte arrêtée, à Vladlen Tatarski, lors de la soirée. Ce dernier animait une chaîne Telegram consacrée au déroulement de la guerre en Ukraine, comptant plus de 500.000 abonnés.

Edoh