Ce vendredi 12 juillet, le gouvernement togolais et la Banque mondiale ont signé trois accords de financement dans le cadre du CPF. Ces signatures marquent le lancement de ce nouveau Cadre de Partenariat stratégique (CPF) ente ces deux entités adopté le 23 mai dernier.
L’évènement a eu lieu à l’hôtel 2 février de Lomé et a connu la présence de plusieurs ministres du gouvernement togolais. L’institution financière mondiale était incarnée par son représentant résidant de la Banque mondiale au Togo, Filly Sissoko.
CPF, un partenariat de 2025 à 2029
Le nouveau Cadre de Partenariat stratégique (CPF), entre la Banque mondiale et le Togo, a été endossé par le Conseil d’administration de l’institution, le 23 mai 2024. Il couvre la période 2025 à 2029. C’est dans le cadre du CPF que trois accords de financement ont été signés ce vendredi 11 juillet. le montant de ces accords s’élève à 298 millions de dollars soit plus de 180 milliards de francs CFA.
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Ces financements vont servir à mettre en oeuvre des projets visant à améliorer l’accès à l’électricité, renforcer la prestation des services publics et promouvoir la cohésion sociale.C’est en tout quatre projets qui sont concernés, deux déjà en cours d’exécution et deux nouveaux. Il s’agit notamment du Projet de développement inclusif grâce à l’accès à l’électricité (IDEA), du Programme de renforcement du secteur public pour la prestation des services (PMAPDS).
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Il s’agit également du Projet de cohésion sociale des régions nord du Golfe de Guinée (COSO). Quant au CPF, il est structuré autour de trois grands objectifs : (i) la création d’emplois de qualité par le secteur privé, (ii) l’amélioration du capital humain, et (iii) le développement territorial inclusif et durable, a expliqué Filly Sissoko, représentant résidant de la Banque mondiale au Togo.
Le ministre togolais de l’économie Sani Yaya a exprimé sa gratitude « au groupe de la Banque mondiale qui nous accompagne dans notre détermination à faire face aux défis majeurs de notre pays pour promouvoir le développement durable ». Tout en exprimant sa gratitude à la banque mondiale, Sandra Ablamba Johnson, ministre secrétaire général de la présidence de la République, a de son côté invité le « Secteur privé à saisir cette opportunité en faisant preuve d’innovation et de rigueur dan sla mise en oeuvre des projets qui leur seront confiés ».
Esso A.